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Dans ce contexte, le Fonds a enregistré une performance positive mais inférieure à son indicateur de référence.
La sélection de titres de qualité a pesé sur la performance relative du Fonds.
La sous-performance relative du Fonds peut s’expliquer par nos investissements dans les titres technologiques (comme ASML ou Capgemini) ainsi que dans le secteur de la santé.
En revanche, nos convictions dans les secteurs industriels (par exemple, Kingspan) et financiers (comme Adyen et Deutsche Börse) ont bien performé.
Nos stratégies de diversification, incluant des options sur indices, les secteurs automobiles et chimiques européens et le VIX, ont également affiché une performance positive.
Sur l’obligataire, notre positionnement sur les taux souverains a été bénéfique.
De même, nos stratégies de crédit continuent de bien performer, soutenues par un rendement embarqué.
Compte tenu des incertitudes persistantes concernant l’évolution des politiques fiscales et tarifaires américaines, ainsi que de leurs implications sur l’inflation et la croissance économique, nous continuons à diversifier notre portefeuille.
Plutôt que de réduire notre exposition aux actions, qui reste à environ 40%, nous optons pour une diversification sectorielle et l’achat de protections via des options.
Nous continuons de penser que le consensus est encore trop pessimiste en Europe. Nous maintenons ainsi une sensibilité négative sur la zone euro et conservons une exposition substantielle au crédit.
Nous conservons également une exposition importante aux matières premières, qui devraient bénéficier des incertitudes politiques et géopolitiques sur le continent.
Le Fonds est stratégiquement positionné pour tirer parti d’un regain d’intérêt potentiel pour une région qui a été largement négligée par les investisseurs.
Actions | 34.6 % |
Obligations | 33.9 % |
Monétaire | 22.9 % |
Liquidités, emplois de trésorerie et opérations sur dérivés | 8.6 % |
Nous recherchons des moteurs de performance au sein des différents pays, classes d'actifs et secteurs en Europe dans le but de construire un portefeuille robuste, capable de s'adapter rapidement aux mouvements de marché.
Environnement de marché
Le mois a été marqué par une érosion de l’exceptionnalisme américain.
Les incertitudes liées aux politiques de Trump 2.0 ont pesé sur le moral des consommateurs et des entreprises américaines, ravivant les craintes concernant la croissance économique.
En l’absence de visibilité aux États-Unis, l’attention des investisseurs s’est portée vers le reste du monde, où le niveau des valorisations reste faible.
Les actions européennes ont maintenu leur progression, malgré les menaces protectionnistes de Trump.
Les investisseurs ont commencé à anticiper un cessez-le-feu entre la Russie et l’Ukraine. La politique a été au centre des préoccupations au cours du mois, avec des rencontres tendues entre les dirigeants européens et l’administration Trump.
Le secteur financier a été le plus performant, tout comme le secteur de la défense.
Tous les principaux segments obligataires ont enregistré des rendements positifs au cours du mois, la baisse des taux américains ayant des répercussions sur tout le marché.